Archives mensuelles : septembre 2008
Article de presse du Courrier Picard du 16 septembre 2008
Olivier Jardé pose une question écrite sur l’arrêté autorisant l’épandage des boues d’Achères dans les communes du département de la Somme
Question publiée au JO le : 09/09/2008 page : 7708
Date de changement d’attribution : 16/09/2008
M. Olivier Jardé attire l’attention de Mme la ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales sur l’arrêté autorisant l’épandage des boues d’Achères dans les communes du département de la Somme. Par arrêté du 30 août dernier, la superficie d’épandage des boues provenant d’Achères a été étendue à douze nouvelles communes du département de la Somme, soit 2 534 hectares. Cet arrêté du Préfet a été pris après enquête publique qui s’est déroulée du 10 décembre 2007 au 11 janvier 2008, à l’issue de laquelle la commission d’enquête a rendu un avis favorable le 17 mars dernier. Or, il s’insurge sur cette décision qui n’a nullement pris en compte les délibérations des conseils municipaux intéressés et qui se positionnaient fermement contre cette extension. Il souhaite donc connaître la raison pour laquelle l’avis des conseils municipaux n’a pas été pris en considération au sein de l’enquête publique et lors de la publication de cet arrêté.
Mardi 16 septembre : Soirée-Débat à Saint-Fuscien avec Jean-François Mattéi
Olivier JARDÉ
Professeur de Médecine,
a le plaisir de vous convier à une soirée débat sur le thème
" L’ HOMME EN QUÊTE D’ HUMANITÉ "
animée par
le Professeur Jean – François MATTÉI, ancien Ministre,
Président de la Croix Rouge Française
En présence du Docteur Jacques LIÉNARD, Président du Conseil Régional de Picardie de l’ordre des médecins
le mardi 16 Septembre 2008 à 19 heures à SAINT FUSCIEN
Salle Polyvalente
Vos parents et amis sont les bienvenus
Communiqué de presse – Olivier se positionne contre le fichier EDVIGE – 8.08.09
Olivier Jardé, Député de la Somme, se positionne fermement contre le décret du 1er juillet 2008 créant le fichier EDVIGE.
Olivier Jardé juge inutile cette centralisation des informations relatives aux personnes physiques ayant uniquement sollicité un mandat politique ou syndical, dès l’âge de 13 ans. Cette extension de la collecte des données dites « sensibles » de l’ancien fichier des Renseignements Généraux tels que les coordonnées téléphoniques, les orientations, des informations d’ordre fiscal ou patrimonial est considérée par le député de la deuxième circonscription de la Somme comme une atteinte aux libertés individuelles fondamentales dans notre démocratie. Il considère cette atteinte comme disproportionnée quant aux nécessités de l’ordre public.