Olivier Jardé, député d’Amiens, apprend que la municipalité d’Amiens vient d’annuler les deux réderies du centre ville d’Amiens organisées par l’association des commerçants du quartier des halles . Elles ont été créées il y a 55 ans et ont une notoriété nationale voire internationale. Ses bénéfices permettent une valorisation du commerce local en dehors de toute subvention publique, une aide aux personnes agées et au comité de quartier Saint Germain les halles. Les comptes sont certifiés par un expert compable. Cet événement participe à l’attractivité de la capitale régionale. Olivier Jardé, regrette que de telles manifestations soient remises en cause par le Mairie d’Amiens. Décidément celle-ci n’est capable que de détruire. Aprés les parkings, les bus, le stationnement en surface c’est un nouveau coup dur contre le commerce local. Olivier Jardé apporte tout son soutien aux commerçants bénévoles responsables de cette manifestation tant appréciée.
Archives mensuelles : août 2010
Communiqué de presse d’Olivier Jardé : Désengagement de la majorité de gauche sur le logement social
Le préfet a adressé à Olivier Jardé,député ,une copie de la lettre qu’il a envoyée à tous les présidents d’office d’HLM de Picardie et à Isabelle Graux présidente de l’OPAC d’Amiens.
Alors que la majorité de gauche fait du logement social sa priorité, le Préfet rappelle que le montant définitif de la dotation régionale pour le financement du logement locatif social sera arrété fin septembre 2010 en fonction des consommations constatées au 15 septembre et des perspectives de réalisation en fin d’année. Olivier Jardé, député, s’étonne que l’OPAC d’Amiens n’ait réalisé que 1,5% de ses objectifs 2010. Si le retard observé dans le dépot des dossiers devait se poursuivre, Amiens risquerait d’être trés fortement pénalisé lors de la répartition définitive des dotations et de voir son enveloppe de crédits sensiblement réduite par rapport aux montants initialement prévus. La municipalité de gauche dit que les crédits d’Etat sont insuffisants mais elle est incapable d’utiliser ceux accordés, incapable de tenir ses promesses. Elle est plus apte à supprimer qu’à réaliser son programme. Olivier Jardé regrette l’absence de développement de Boréalia et du projet gare-la vallée.
Olivier Jardé pose une question écrite sur les accidents de la vie courante
Question publiée au JO le : 10/08/2010 page : 8654
Texte de la question
M. Olivier Jardé attire l’attention de M. le Premier ministre sur la question des accidents de la vie courante. Les ministres chargés de la consommation, de l’intérieur et de la santé ont écrit au Premier ministre pour qu’il accorde à l’automne le label de grande cause nationale 2011 à la lutte contre les accidents de la vie courante. Par ailleurs, quarante-quatre associations et fédérations représentant les quatre champs particulièrement concernés (consommation, sécurité civile, santé, famille, intervention à domicile), parmi lesquelles Calyxis, la Croix-Rouge, la Fédération nationale de protection civile, l’UNAF, l’UFC-Que Choisir et la Fédération des particuliers employeurs, viennent de fonder le Collectif inter-associatif de lutte contre les accidents de la vie courante (CLAC) afin de soutenir cette candidature. Avec 11 millions d’accidents, près de 20 000 décès et 4,5 millions de blessés chaque année, les accidents de la vie quotidienne représentent en effet un fléau bien plus meurtrier que l’insécurité routière, endeuillant nombre de familles et détruisant des vies entières. Or, conséquences de gestes du quotidien, involontaires, voire même banals, ces accidents doivent avant tout être regardés pour ce qu’ils sont réellement : des drames évitables ! L’exemple des pays du nord de l’Europe, qui ont mis en place des politiques volontaristes, montre d’ailleurs qu’il est possible de diviser par trois le nombre de décès liés aux accidents domestiques grâce à des campagnes adaptées et des actions menées par l’ensemble des acteurs concernés. En France, déclarer la prévention des accidents de la vie courante Grande cause nationale permettrait une prise de conscience, encouragerait la définition d’une politique interministérielle et mobiliserait l’ensemble des acteurs afin de faire enfin diminuer le nombre de ces drames. Soulignant l’intérêt d’élever ce thème au rang de grande cause nationale, il lui demande en conséquence de bien vouloir lui indiquer le calendrier au terme duquel le thème de la grande cause nationale 2011 sera connu.