Communiqué de presse
Olivier Jardé dénonce les conséquences prévisibles des décisions arbitraires de la mairie d’Amiens
Comme je l’avais hélas prévu, les fermetures de rues à la circulation automobile engendrent des problèmes sociaux dramatiques et des drames humains poignants.
Ce n’est pas qu’une fermeture d’un établissement qu’à dû supporter une commerçante de la place René Goblet, mais la perte de son travail, donc de tous ses revenus et de son logement. C’est toute famille, les enfants compris, qui s’est retrouvée à la rue.
Face à cette situation intolérable, j’ai décidé de réagir immédiatement, comme aurait dû le faire Gilles Demailly. J’ai interpelé le Directeur de la SIP HLM et le Préfet de la Somme pour que cette famille soit rapidement relogée.
Je demande au maire d’Amiens de comprendre que les commerçants ont besoin, dans la crise très grave que nous vivons, d’être entendus et protégés plutôt que malmenés.
Cette situation navrante n’est que le symbole d’un centre ville qui dépérit par idéologie où les hausses de la fiscalité entraînent une perte d’attractivité, un déclin économique qui aboutit inéluctablement à des drames humains.