Après Françoise Hardy, Jamel Debbouze, Patrick Bruel et d’autres, voici Philippe Bouvard qui s’emporte contre cette tentation de la gauche d’assimiler la réussite à une sorte de fraude non dite qu’il faudrait se faire pardonner en payant. Il est aussi ridicule et faux de croire que toutes les personnes aidées fraudent plus ou moins que de croire que la réussite ( je ne parle pas de l’héritage) arrive sans effort, sans mérite, sans risque et sans travail.
Il est indispensable qu’il y ait de la richesse et de la prise de risques pour avoir des entreprises et il est nécessaire que cette argent risqué soit récompensé, si l’on veut qu’il soit réinvesti à nouveau.