Pour un Tweet, dont on ne sait s’il faut rire ou pleurer tant il est vaudevillesque dans ses motivations et effarant dans ses effets politiques, toute la médiasphère s’enflamme et annonce la fin de l’état de grâce, l’effondrement de la Présidence « normale », le signe irréfragable d’un Président mou dominé par sa compagne à poigne.
J’ai l’impression un peu pénible que tous attendaient cet écart pour enfin se sentir libéré des flagorneries d’après élection, comme si selon la formule de jack Lang « nous étions passés de l’aube à la lumière ». Continuer la lecture